Affaire du père Ribes : derrière le « Picasso des églises », un pédocriminel aux 300 victimes

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Le 6 avril dernier, Mohamed Boudjellaba, le maire de Givors, une commune de la banlieue lyonnaise, envoie une lettre au pape François. Dans sa missive, l’élu en appelle au chef de l’Église catholique, pour savoir s’il doit retirer ou non les vitraux de la chapelle de Saint-Martin-de-Cornas, à Givors. Ces vitraux sont l'œuvre d’un prêtre, Louis Ribes, surnommé à l’époque le « Picasso des églises ».Le père Ribes, mort en 1994 à 73 ans, compte à son actif de nombreux vitraux, chemins de croix et tableaux visibles dans différentes églises et chapelles de la région. Mais depuis la fin de l’année 2021, plus de 300 personnes, hommes et femmes, témoignent avoir été victimes de lui enfants, entre les années 50 et 90. Trente ans après sa mort, elles demandent le démontage des œuvres de Louis Ribes. Pour Code source, Thomas Poupeau, journaliste au service société du Parisien, revient sur cette nouvelle affaire de pédocriminalité qui éclabousse l’Église catholique. Crédits. Direction de la rédaction : Pierre Chausse - Rédacteur en chef : Jules Lavie - Reporter : Ambre Rosala - Production : Raphaël Pueyo - Réalisation et mixage : Pierre Chaffanjon - Musiques : François Clos, Audio Network - Identité graphique : Upian - Archives : BFMTV Lyon, RMC. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

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